vendredi 23 janvier 2009

Comme un ouragan de fraîcheur ! Et un petit train de retard…


Lorsque j’ai découvert le numéro de Vogue avec Stéphanie en couverture dans ma boîte aux lettres j’avoue que je n’étais pas franchement emballée. La princesse chanteuse du top 50 de mon adolescence très peu pour moi. Je l’ai donc posé puis oublié dans son coin jusqu’à ce qu’arrive le dernier numéro spécial Lara Stone. Je ne pouvais pas me plonger dans celui-ci sans lire le précédent … Vogue c’est quand même le feuilleton de la création haut de gamme et prestige. On n’est pas dans le soap façon les feux de l’amour, rater un épisode c’est prendre le risque d’avoir trois saisons de retard en matière de style luxe et volupté... Impensable !

Me voilà donc à décortiquer chaque page de ce magazine avec Stéphanie comme rédac chef, et au final j’y ai pris du plaisir. D’abord parce que j’ai eu droit à un décryptage en règle des codes fashion des années 80 on ne peut plus présents sur les podiums ces temps ci, et qui ont habité mon enfance et adolescence à coup de Mugler, Montana, Alaia, stretch, épaulettes, matières lycra et vinyles et j’en passe. Ensuite parce que la série mode avec Stéphanie herself réalisée par Carine Roitfeld s’est révélée rafraichissante à plus d’un titre. Comme le note Géraldine de Café mode dans son article sur Michelle Obama, y en a un peu marre des it girls à peine pubères, alors une quadra comme Stéphanie dans une série vogue et ben ça fait du bien ! Et surtout ça fait du bien parce que contrairement à d’autres on voit les effets du temps sur son visage (et surement du soleil à haute dose selon moi) qui ne connait pas la moindre injection de botox comme elle le dit elle-même dans son portrait. Je ne sais pas si Carine Roitfeld et elles sont amies, en tout cas j’ai ressenti comme un effet miroir entre elles, avec ce même style de beauté animale toute en jambes…

Ps : ha oui j’ai aussi aimé revoir ses créations de maillot de bain, ado je flashais sur le une pièce asymétrique jaune et noir très swimming haute couture, et bien je le trouve toujours chouette en fait…

Ps bis : j’ai retrouvé l’article sur le site de vogue qui présentait ce numéro et notamment : "Cette série mode en noir et blanc shootée par Mert Alas & Marcus Piggott et réalisée par Carine Roitfeld, nous révèle une femme forte et fragile à la fois, « regard conquérant » et visage nu. "C’est bien ce qui m’a touchée un visage nu enfin !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

pourquoi pas:)